•  

    oh Vu sur le pare-brise d'une GSA dernier cri, cette rapide évocation de notre évolution placerait la GS comme ce qui se fait de mieux comme outil au service de l'Humanité ! Rien que ça ! 

    Passer de l'homme des cavernes au moderne pilote du dernier pachyderme à la mode, y'a de quoi s'interroger sur l'humilité de quelques uns, nan ?  

    Bon je sais, c'est pour de rire ...wink2

                                                                                                                   

                                                                                  


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  •                             ... alors, très grosse pensée pleine d'émotion pour les êtres chers qui nous quittent.

                                                               Ils nous ont tant apporté et nous avons tant partagé avec eux !

     


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  • L'article qui suit (FFMC) est assez évocateur de ce qu'on vit parfois dans les grandes métropoles ... Où comment perdre beaucoup de temps, de l'argent, de la productivité, du lien social et probablement un peu de sa santé.

    Des transports publics plus nombreux et mieux adaptés (gratuits ?) + l'usage du 2RM facilité + des cyclistes et des piétons sur des voies dédiées + des villes de tailles moyennes (où y'a du taf !) à échelle humaine ... On peut rêver, nan ??

    Mais, revenons à nos bouchons et à leurs coûts...  

    Résultat de recherche d'images pour "dessin bouchon routier"

    A l’heure des interdictions de circulation, les arguments en faveur de l’usage de deux-roues motorisés (2RM) ne manquent pas.

    Mais un argument est rarement abordé : le plan économique ! On sait en effet que les embouteillages coûtent cher. Selon les études réalisées, si les chiffres peuvent être discutés dans le détail, le principe est évident. Plus de temps passé dans les bouchons coûte directement et indirectement à l’ensemble de la société ! Directement par les coûts en carburant et en temps perdu, et indirectement par la répercussion sur les prix des biens et services vendus par les entreprises. Une évidence : si je suis dans les bouchons, je ne suis pas en train de travailler, donc pas en train de produire de la richesse !

    Une addition très lourde !
    Selon une étude des anglais cebr (cebr.com) publiée sur le site www.planetoscope.com , qui reprend les données collectées par la société Inrix, Paris serait la 35ème ville la pire du monde, la 5ème d’Europe et bien entendu la pire de France. Le parisien moyen passerait ainsi deux semaines par an coincé dans sa voiture !

    Le coût total français en 2013 serait de 17 milliards d’Euros, et une projection estime à 22 milliards le coût prévisible en 2030 ! Et à ce facteur économique, aucun remplacement de moteur thermique par un moteur électrique, à hydrogène ou à poudre de Perlimpinpin n’apporte de résolution.

    Deux semaines perdues dans les bouchons, c’est aussi (surtout ?) autant de temps qu’on ne passe pas en famille ou entre amis. C’est du temps de repos en moins, du confort de vie « volé » par les embouteillages. Autant de temps que nous rend l’utilisation de 2RM pour s’occuper de nos enfants plutôt que les faire garder, pour consacrer ce temps à notre famille, nos amis, notre vie sociale. Autant de temps que rend l’usage d’un deux-roues motorisé au lieu d’une voiture à l’ensemble de la société. Autant d’argent dilapidé en moins dans les embouteillages.

    Conclusion ? Le 2RM en ville permet donc non seulement à son usager de s’affranchir des bouchons, aux autres usagers d’en connaître moins, à l’ensemble de la société de faire baisser les émissions polluantes, mais aussi de produire mieux en coûter moins, et de retrouver une qualité de vie perdue dans les bouchons !

    Et on veut nous interdire de circuler au prétexte de l’utilisation de véhicules trop vieux ? Les chiffres et le vivre-ensemble disent le contraire : Mesdames et Messieurs nos gouvernants, tenez-en compte !

          le  dossier complet et chiffré 

                                                           et la page FFMC qui correspond wink2

    et Andy Singer le dessinateur à vélo 



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  • dis Jaco, ça serait koi un moto club ?

    A mon sens, ça serait juste une association de malfaiteurs avec des motards dedans, partageant leur passion commune pour la moto, sur des valeurs et objectifs clairement identifiés ...

     

    1 / avec des p'tits statuts : simple et court document administratif pour la déclaration en Préfecture

    2 / avec une charte interne : sans obligation administrative, c'est un document élaboré, adopté et modifiable en assemblée générale. Il décrit les objectifs, l’état d'esprit et le fonctionnement du groupe, avec : 

    - les valeurs et l'esprit du MC : passion moto, solidarité, tolérance, accueil, ouverture aux autres, curiosité et découverte, ... :

     

    - comment on roule en groupe

     

    - quelles sont les activités, et comment on les met en œuvre

     

    - comment le MC fait vivre une dynamique (démocratie participative-coopérative)  

     

     

     

     

    dis kamarad, ça s'rait koi un Moto Club ?

     

         des mots clé : 

     

     

    Moto : évidemment, un Moto Club n'est pas un club de tricot ou de collectionneurs de boîtes d’allumettes ! Donc on roule !!!!

    La moto est une passion, et on a le plaisir de la vivre et de la partager. Rappel pour ceux qui se vautrent facilement dans le confort "bagnole" : la moto est une activité extérieure soumise aux aléas météo…

    Évidemment, j'me fous pas mal des cylindrées, des performances et des marques ; toute moto a son charme et ses intérêts ! dis kamarad, ça s'rait koi un Moto Club ?

     Humilité : la pratique de la moto exige une grand humilité, une attention aux autres et des capacités d'analyse et d'adaptation de chaque instant. C'est aussi l'humilité qui imprègne les relations entre motards ; y'a pas de maîtres, et personne n'a rien à prouver ...

     

    Adhérer :  c'est respecter les valeurs du MC et participer à sa dynamique. C'est adopter une attitude positive et constructive.  C'est tous ensemble œuvrer bénévolement pour l'association, sans attente de retour ou de gratitude particulière, ni espoir d'une reconnaissance éternelle …

    L'adhésion en roros doit être la plus faible possible, voire inexistante ... une assoc loi 1901 n'est pas une machine à faire du blé, ni à l'engranger inutilement.

     

     Engagement : en adhérant, tu t'engages et tu t'investis volontairement, dans le souci de partager des passions communes. C'est ce qui nous différencie des habitudes du consommateur ! Dans un MC tu n'exiges rien et tu n'achètes rien. Tu apportes un + au groupe, et on partage simplement le tout ! 

     

    dis kamarad, ça s'rait koi un Moto Club ?

    Accueil : un MC se doit d'être accueillant et ouvert à tous. Souhaiter la bienvenue, présenter le groupe et ses adhérents, expliquer le fonctionnement. Il s'agit de permettre à l'autre de trouver sa place, tout en faisant sa connaissance. On perçoit parfois alors ce que le nouveau venu peut apporter au groupe, de par son expérience motarde et ses qualités. Pour les plus timides, parfois il faut plus de temps ..

    J'ai des réserves sur l'adhésion par cooptation pratiquée par certains MC, de crainte qu'elle ne constitue un groupe trop homogène de motards qui se ressemblent un peu trop (du même milieu ...).

    dis kamarad, ça s'rait koi un Moto Club ?

     

    Rouler : en groupe, si cet exercice a du charme (partager au même moment un bout de route, un rassemblement), il présente aussi quelques "réalités", faciles à gérer (voir ces quelques réflexions), avec un peu de bon sens.

    Chacun doit rester responsable de son comportement sur la route, sans mettre en danger les autres.

    Il vaut mieux rouler propre et efficace partout, que fort seulement dans les bouts droits... On se calme sur les excès de testostérone printanière STP !

    Pas de blocage de la circulation : nous n'avons aucune légitimité à nous approprier l'espace public que nous partageons avec les autres usagers.

     

     

    Responsabilité : faire partie d'un groupe n'exonère personne de ses responsabilités et ne signifie pas que chacun puisse faire, ni dire, n'importe quoi. Chacun doit s'assumer.

    Ainsi tout adhérent adopte un comportement adapté à la volonté associative commune, pendant les activités de l'association. 

    NB : le groupe attend le meilleur de chacun, et non pas le moins bon ou le nauséabond ...

    NB : être responsable, c'est aussi conserver légitimement son autonomie et son indépendance. Faire groupe n'oblige personne à adopter bêtement des comportements "moutonniers" à la con.  

     

    Démocratie et transparence : les règles démocratiques permettent à tout adhérent de participer activement à la dynamique du MC. L'AG annuelle n'est pas désuète, et c'est même le moment le plus important de l'année.

    Une expérience ''démocratique'' demande d'être humble, de remettre en question ses certitudes et ses convictions, voire de remettre en cause un pouvoir supposé, pour ceux qui s'en croient investis durablement ou qui l'utilisent sans retenue ...

    Bref, ça demande à chacun de pas prendre le melon… dans le respect et l'écoute, en recherchant le meilleur pour le plus grand nombre. 

    dis kamarad, ça s'rait koi un Moto Club ?

    NB : au delà des quelques noms désignés auprès de la préfecture lors de la constitution d'une association, un MC peut parfaitement fonctionner ensuite sans "président" et autres fonctions pensées comme autant de distinctions hiérarchiques "gonflantes" ... !

     

    Important : on peut aussi opter pour le fonctionnement associatif collégial ; ce statut existe, il est simple à mettre en place  et présente plein d'avantages !

     

     

    Les réunions et assemblées doivent être ouvertes à tous, animées par un(e) volontaire, retranscrites par un(e) secrétaire. La parole de chacun et les échanges compris comme une recherche consensuelle permanente favorisent l'élaboration de projets validés ensuite par la majorité des présents.

    J'ai bien conscience que cet exercice peut sembler plus que délicat. En effet, cette expérience demande à chacun de "lâcher prise" sur ses exigences, ses convictions et certitudes, son narcissisme et son égo surdimensionné, son rang et sa posture sociale.

    Ces enjeux là, constamment agités dans une société façonnée par la compétition et la réussite individuelle ... ne m'apparaissent pas compatibles avec l'idée que j'ai de la pratique moto quand tu fais un bout d'route : simplicité, équité, humilité.

     

    Calendrier : définit à partir des propositions de tous (des dates, des lieux, des événements, des Kms, des budgets ...). Modif en cours d'année, en prévenant le plus tôt possible.

    De la qualité du calendrier dépendra la dynamique globale du MC. Sa préparation et son élaboration collective est donc un moment très important. Un simple  ''catalogue'' d'activités fait à l'arrache "pour remplir des cases", sans volonté de faire partager du plaisir ... va altérer le sentiment de vivre des moments de passion Moto, et n'est pas satisfaisant.  

     

    dis kamarad, ça s'rait koi un Moto Club ? Ami consommateur exigeant, circulez y'a rien à voir si tu considères ça comme un catalogue, c'est pô une boutique ici ...! 

     

    Activités : évidemment basées sur la pratique de la moto, elles sont variées, accessibles à tous et attractives ! Avec un but-prétexte à la balade, à la découverte et à la rencontre.

    L'activité retenue est préparée par celui qui la propose. Il fait partager avec enthousiasme quelque chose au groupe. Même simple, la qualité d'une activité bien préparée est souvent appréciée par les participants, qu'ils soient nombreux ou non.  

     

    L'égo de l'organisateur ne doit pas être excité par une forte participation, ou au contraire chagriné par un faible nombre... On risque la baisse de la qualité, en étant obsédé par le nombre !

    Accepter des activités coûteuses (voyages qui nécessitent des congés et des budgets conséquents), introduit un clivage difficilement supportable à court terme, et nuira forcément à la cohésion et à l’existence du MC.

     

    Limiter le nombre d'inscriptions est totalement contraire à l'équité normalement due à tous. Une évidence ...!

    Les réservations ne sont possibles, qu'à condition d'être absolument nécessaires (location, repas). Elles n'ont aucun intérêt par ailleurs, même quand elles sont demandées par un soucis de "politesse" sensé rassurer l'inquiet qui prépare le truc, et qui a peur qu'on l'aime pô ... shocked

     

    Information : régulière, complète et claire, elle doit être totalement partagée de façon simultanée par tous les adhérents. Elle émane de tous et est centralisée et redistribuée par un "référent" consciencieux.  

    Une bonne info participe à l'attractivité et à l'intérêt porté aux activités et à la dynamique du groupe. 

    dis kamarad, ça s'rait koi un Moto Club ?

     

     Équité : il n'y a pas de position particulière liée à son ancienneté, à sa position socioprofessionnelle, à son expérience motocycliste, à ses qualités de pilote, ou à son rôle dans l'organisation  l'animation de l'association. Chaque adhérent est simplement adhérent à part entière, comme les zaut'. 

     

    Histoire : l'histoire se transmet, et se porte avec ses bons et moins bons aspects. Elle soude le groupe, même pour les jeunes adhérents.

    Elle se constitue avec ce que chaque adhérent apporte au Moto Club, via les activités partagées. Elle s'enrichit tous les ans des expériences communes et des rencontres extérieures qui élargissent les zorizons !

     

     

    des écueils possibles à gérer facilement, grâce à un règlement intérieur qui les anticipe, sur lequel on peut s'appuyer : 

     

    -  les résistances au changement : un groupe fonctionne parfois avec beaucoup de lenteur (voire d'inertie), et il est difficile à mettre en mouvement… Ça peut être pareil pour les évolutions souhaitables, pour les projets, pour l'élargissement du groupe et l'accueil des idées nouvelles, ...etc.

    NB : résister aux changement, c'est ne pas prendre de risque, et c'est probablement faire le choix du repli sur soi.

     

     -  dériver vers moins de démocratie, moins de réunions ouvertes à tous, moins de transparence, car  « c'est pas la peine, on a pas besoin de ça, on va pas se faire chier avec ça … » ! Ce type de discours peut venir d'individus à qui on peut rappeler la notion d'engagement, de partage et d'équité ! 

    Ça interroge sur les envies de pouvoir, et les incapacités à coopérer avec tous ses petits camarades.

     

     -  la nostalgie sclérosante qui empêche d'avancer, les vieilles histoires rabâchées qui ennuient les derniers arrivés et qui justifient un immobilisme mortifère.

     

    -  les égos trop forts et les comportements ''toxiques'' des malheureux aigris égoïstes-pessimistes permanents.

    NB : attention aussi au pouvoir excessif que s'arrogent insidieusement certains représentants des adhérents (des zélus du burô quoi...).

     

    -  le manque de transparence, aussi bien dans la trésorerie que dans les décisions prises (un comble !)

     

     -  ''l'illusion groupale'' ou "l'entre-soi"... "on est trop bien ensemble" donc appartenir à ce groupe est essentiel.

                Ça a quelques effets indésirables : 

     : peur de se perdre, besoin de faire ''troupeau'' (bande ...), réduction de l'autonomie, on compte sur l'autre ....

     : crainte des modifications, puisqu'on s'y sent très bien. Les nouveaux arrivants et les idées neuves sont redoutés, voire évités ou rejetés … (repli sur soi, pas d'évolution, …)

    :  ''déresponsabilisation'' dans une ambiance où (croit-on) le groupe peut accepter des comportements inhabituels et excessifs : mises en danger, alcoolisations excessives, blagues douteuses, propos intolérants, …

     :  de plus en plus d'activités de type grosses bouffes (et bitures !) et anniversaires... la passion Moto est alors bien secondaire.

     

     -  la délicate ''gestion'' des affinités :

    Une association est obligée d'accepter que certaines affinités (ou proximités) puissent créer des ''cercles'' amicaux, à partir du groupe d'adhérents.

    Pourtant un MC doit être avant tout fédérateur, et ces affinités particulières ne doivent  ''diriger'' en aucun cas le groupe et ses activités. Tout adhérent a les mêmes droits et devoirs. 

    NB : c'est pourquoi on distinguera donc une association avec des adhérents, d'un petit groupe d'amis intimes, car ça fonctionne pô avec les mêmes règles, objectifs et enjeux. 

     

    Résultat de recherche d'images pour "dessin rêve de motard"

                             Au total, c'est clair, entre un club hyper structuré au fonctionnement rigoureux et rigide, et un club sans ligne de conduite particulière qui erre au gré des improvisations imposées par quelques uns … je préfère de beaucoup une pratique associative démocratique dans un esprit ouvert et coopératif, pour définir un calendrier d'activités variées et accessibles à tous.

     

    Malgré ou à cause des écueils, être adhérent à un MC peut être une expérience très enrichissante et enthousiasmante. Les bons moments à vivre ensemble compensant parfois les moments moins faciles où on ne trouve pas forcément son compte.

     

                            Des MC tous différents : Dans le monde de la moto, chaque club est particulier. Si à une époque lointaine, on distinguait les affiliés à la FFM et les MC Pirates qui s'affranchissaient des cadres habituels, aujourd’hui il semble qu'une grande diversité préside à l'existence des MC. 

    Se regrouper est peut être une pulsion animale vieille comme le monde (?), et certains redoutant les comportements de meute préfèrent garder une totale indépendance. 

     

    Après, on trouve pô forcément botte à son pied ...... Après 3 superbes expériences (dont 2 forts engagements dynamiques), je pense à autre chose ... encore plus engagé dans la passion Moto et la solidarité, dans le vrai et le simple des relations sans artifices, plus ouvert sur les zautres et sur le monde ! wink2

    dis kamarad, ça serait koi un moto club ?

     

       


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    holliday on ice ...

      Ça fait des années que ça dure ... et que personne (ou presque) n'équipe les réservoirs de certains véhicules avec des bouchons dignes de ce nom ! Une économie de quelques misérables roros ...  

     

    Et la sécurité rentière n'est pas foutue d'exiger un cadre réglementaire pour clore définitivement le sujet ... Pffff par contre elle a fait inscrire dans la loi l'obligation de l'étiquette CE sur nos gants !

     

    Donc pendant ce temps là, le gas-oil dégueule toujours dans les ronds points, transformant la chaussée en patinoire ! Tu t'amènes dessus pépère, et évidemment tu rates ta splendide triple boucle piquée avec ta chère mobylette, et donc tu te vautres !

     

    ... Au mieux, direction chez ton mécano, au pire c'est mécano + séjour à l'hosto ! En terme d'économie pour chacun et pour la collectivité, on fait mieux, non ??, 

     

    Et dire qu'il y a 25 ans on en collait déjà sur les pompes... Bon, on peut toujours en demander à la SR, ou au Mr Moto du département (souvent à la DDE, voire à la préfecture)... mais hélas j'ai des doutes sur l'impact et l'efficacité du message.

     

    Notre ami Jean-Luc (que je salue chaleureusement !), en a fait l'amère expérience il y a peu, au guidon de sa R1200RS. Pô content l'Jean-Luc, et je le comprends bien !

    madA ki l'tour ;..??

     

     

       


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  •   Surpris sur l'écran en option d'une Adventure dernier cri ... 

      

       

     

     

     

     

     

     

     

           

    wink2OK, mais ... le tout à 31,5 km/h de moyenne, et une consommation de 11,7L/100, tout de même respect !! 

     Alors que l'homme pressé rêve d'être en plein road-trip dans un désert Africain...,voilà qu'il se traîne sur les périphériques encombrés avec son maxi-trail de 250kgs.

    clown... Faut juste peut-être débrancher l'insolent bordel qui s'fout d'ta tronche, nan ?glasses


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  • Entre 1953 et 1955, les "Castors" de Rennes construisent 91 maisons dans le quartier de la Binquenais, au sud de la ville.

    Pour la "petite" histoire, au sortir de la 2° guerre mondiale, les besoins de logements sont énormes, et c'est l'époque ou les bâtiments HLM poussent comme des champignons. Des personnes préférant habiter dans des petites maisons individuelles, s'associent alors en coopérative : les Castors.

    Le principe est simple : on construit ensemble pour des coûts moins élevés, avec les compétences et la bonne volonté de tous (et l'aide de professionnels), des maisons identiques ... qu'on va attribuer par tirage au sort une fois le chantier terminé. 

    C'est sur cette histoire que va se forger une culture, une identité, une vie de quartier, de la solidarité et (déjà) du "vivre ensemble" de qualité. 

    Merci les Rennais !

                                                                                                                           (maison type "castor" 1955)

    Merci les Rennais !   

     

     

     

     

     

    et moi en 1967 (j'avais 10 ans) j'habite alors au 10ème étage, tout au bout de l'immeuble "banane" de la Binquenais (sorti de terre en 1961), juste de l'autre côté du boulevard Oscar Leroux.

    JPEG - 199.5 ko

     Avec une vue imprenable sur le quartier, notamment sur la Rue Albert Briand et la Rue Raymond Hermer, le gamin remarque vite les particularités des lieux... notamment la présence de motos dans 2 ou 3 maisons !

    Je voyais bien les petites cylindrées passer dans le quartier (Yam, Suz, Honda, MZ ...), les moyennes (Honda, MZ, Yam, Jawa, Suz, Ducati ...) et les plus grosses (BMW, Honda, Guzzi, Laverda, Triumph, Norton ...). Certains vendredi soir ou samedi, l'activité semblait plus intense, des petits groupes se rassemblaient puis disparaissaient dans les rues et sur le boulevard.

    Poussé par ma curiosité, il m'est arrivé quelque fois de traverser le boulevard, pour m'approcher de ces endroits déjà magiques pour mes yeux d'enfant. 

    Au pied des portails des jardins et des portes de garage... je découvre des jeunes (probablement entre 16 et 25/30 ans) qui semblent avoir une passion particulière. Je comprends vite que ce sont ce qu'on appelle "des motards". Je repère rapidement quelques codes (le langage, les vêtements) et les humeurs plutôt sympathiques et rigolardes du milieu.

    Je devine aussi que certains regroupements vont précéder des balades parfois lointaines ... quand les bécanes partent en janvier, avec des manchons, des sacoches et des sacs arrimés sur les porte-bagages ... avec des pilotes toujours enthousiastes ! Peut-être des membres du Condate Moto Club de l'époque ?  

    Des photos de l'époque   Merci à leur auteur Rapha, qui les publie sur l’excellent  site "concentres d'hier"wink2

    J'assiste donc rêveur, en vrai mais avec distance, à des petits morceaux de vie des motards que je vois habituellement depuis ma fenêtre. Dès lors, mon imagination galope, ma petite "culture" motarde naissante et secrète s'enrichit vite. A 11 ans, sur mon premier vélo, je pousse régulièrement jusqu'à la Rue de Nantes, où Pierre Bégasse tenait son fameux bouclard (Bm, Jawa, CZ, et les Anglaises). 

    C'était également le lieu de Rdv de nombreux motards, là où juste avant de partir en concentre, on pouvait trouver un passager pour partager les frais d'essence... 

    coolUn grand merci aux Rennais d'alors, sans qui ma passion n'aurait peut-être jamais débuté ... Franchement, ça aurait été dommage de ne pas vivre ça !  

                                                             En savoir plus sur les castors de Rennes (BD)


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  • réseau antisocial ...


     

     

     

     

    Je suis étonné par la manière de consommer l'info, via un réseau social où tes zamis inconnus sont, paraît-il, si nombreux...

     

      Les relations y sont caractérisées par des échanges ininterrompus d'images dont on ne retient quasiment rien, sinon qu'une émotion furtive parfois malsaine qui banalise souvent la bêtise, l'intolérance et le racisme, l'horreur et l'inacceptable.... y compris sous une forme qui se prétend humoristique, plus ou moins lourde. 

     

      On est manipulé par l'image à qui on fait dire ce qu'on veut, avec du faux, des raccourcis et de l'imposture. Serions-nous séduits également par la brièveté et la simplicité au service d'une compréhension facile, sans efforts ... ? 

     

     Les commentaires possibles doivent être courts également, comme ta réflexion ... d'toute façon, t'as pas la place, ni  l'temps de réfléchir, on enchaîne, on enchaîne !

     

    On se prend pas la tête, on ingère, on rigole, on ingère, on rigole, on ingère encore, on rigole encore ... bref c'est chouette quoi ! Et pis regarde, z'êtes plus que quelques-uns à ne pas "jouer" parmi nous ... (encore un peu et j'm'appele Cromagnon clown). 

     

    Ton attention est maintenant envahie par ces pseudo relations aux vertus amicales supposées, et constamment attirée par l'outil greffé en permanence dans ta main. Tu sembles satisfait et rassuré (tu as de nombreux zamis, waouhhh !), mais n'as-tu pas le sentiment de négliger ton environnement réel ?

     

    Artisan de son aliénation, exhibitionniste éphémère, le pratiquant devient "informateur" à son tour et témoigne aussi dans l'instant (images à l'appui) d'une situation qu'il vit mais dont il ne pourra rien dire ensuite (c'est passé, c'est fini, game over), et dont personne ne s'intéressera ... c'est qu'on est tous passé à aut' chose tu comprends ! 

     

    Encore 2 détails carrément chiants ...

     

    Dans le quotidien, lors d'une sortie moto, la pause devient exclusivement l'occasion de se replonger au jeu, comme un toxico en manque ... Note que c'est vachement intéressant pour l'autre et la dynamique du groupe !

     

    Enfin, appliquée dans le domaine du voyage, cette posture condamne-t-elle définitivement les retours prolongés par des soirées teintées d'exotisme, où l'envie de partager ses émotions et d'éclairer la curiosité vient faire rêver ceux qui ne sont pas partis ?

     

    wink2Alors à quand les vrais échanges, un bon moment où on prend le temps de se parler, d'évoquer 

    réseau antisocial ...

    nos sensibilités dans des vraies relations ...  ?

    réseau antisocial ...

     

     

     

     


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  • Tiens j'irais bien faire un tour au salon de la moto ... de Milan (I)

    ça sera sans moi ...

    C'est juste le genre de truc qui fait prétexte à une belle balade, originale dans le sens ou elle diffère de la classique boucle de 60 km pour aller chercher les croissants le dimanche matin ! 

    1 /  (moi)  "je reviens tout de suite ma chérie"                                                                                               2 /  (moi ) "je te ramène les croissants".... "ah bon,tu veux une brioche ?"                                                 3 /  (moi, 2h00 plus tard)  "excuse moi, j'ai été un peu long"                                                                         4 /  (elle, fermement et froidement)  " tu sais, il est temps d'éplucher les patates"

    Bref, revenons à Milano ... où j'irais volontiers une fois de plus, mais finalement pô pour le salon de la moto. Pourquoi ?

    21€ l'entrée ... pour déambuler dans une foire commerciale, nan mais ça va pas, hein ??  Au s'cours !!! Bon, mes zamis suspecteront peut-être ma légendaire et supposée pingrerie, mais je peux les assurer qu'ici il s'agit plutôt d'un refus de jouer le superbe rôle de gogo ... 

    Tout simplement ! wink2

    Si j'y vais, en fait ça sera pour autre chose.... ou en chemin, vers d'autres destinations ! cool

     


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    Nous avons certainement en commun de longues années d’expériences de la route, riches et diverses, toutes aussi respectables les unes que les autres … et nous pouvons tous parfois aborder différemment notre rapport à la sécurité et à la formation.

     

    Et on le sait tous, la pratique de la moto exige pour chacun de nous une grande humilité, un apprentissage permanent, des capacités à analyser à chaque instant un environnement routier précaire… et ça, quelle que soit l'expérience.

     

      Donc, il me semble que les postures de maîtres et d’élèves, de formateurs et d’apprentis…ne sont pas sympas ni pertinentes. On fait c'qu'on peut, et si chacun pouvait déjà analyser ses propres attitudes avant de s'occuper de celles des autres, ça serait pas si mal ...

     

    Sécurité et responsabilisation

    Maintenant, le sujet de la « sécurité » et des expériences n’est pas tabou pour autant, et il n'est pas toujours inopportun d'éclairer la nécessité de la responsabilisation de chacun, pour que les déplacements en groupe évitent de se transformer en arsouilles débridées ou en défilés à la rigueur excessive …  même si chacun de nous peut être à sa façon sensibilisé aux questions de sécurité.

     

    Alors que la pratique de tout groupe (au sens du ‘’troupeau’’) modifie souvent quelque peu les attitudes individuelles, on peut aussi faire le pari que des comportements individuels responsables sont compatibles avec une pratique de groupe, en pensant le groupe autrement que comme un truc débile qui autorise tous les excès et débordements. .

     

    En matière de sécurité (comme dans d’autres domaines) si le groupe est la somme de plusieurs individus responsables capables d’autonomie et de réflexion, on admettra que chacun conserve ses capacités propres.

     

     

    En effet, dans nos déplacements, le groupe est finalement essentiellement constitué lors des arrêts (et là encore, on doit veiller à ce que chacun se responsabilise dans ses propos et ses actes)… alors que sur la route, chacun de ses composantes est avant tout un simple usager dans le trafic, parmi tous les autres usagers…

     

    C'était notre rubrique "on est po obligé d'êt'con" wink2

    Sécurité et responsabilisation

     

     

     


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