• Malheureusement disparu le 11 août 2018, lors de l'Ulster GP en Irlande du Nord, Fabrice Miguet -dit Le MIG- manque terriblement à sa famille et ses proches.

    Connu pour ses talents de pilotes, son humilité, son humour, sa gentillesse et pour sa passion pour la moto et les courses sur circuit naturels, il était très apprécié par tous ceux qui l'ont croisé sur les paddocks où lors des événements auxquels il participait volontiers. 

    Le Mig, et sa façon de vivre avec sa passion, ne laissait pas indifférent. On avait du respect et de la ''tendresse'' pour ce grand pilote qui avait su rester très simple et humain. Nombreux le suivaient et le soutenaient de loin en loin ...  

    Un tout grand à qui Bernard Fau, l'ancien pilote et aujourd'hui homme de cinéma, rend hommage. Merci à lui. 


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  • film : Road

    Le destin tragique des frères Joey et Robert DUNLOP, célèbres pilotes Irlandais qui ont marqué l’histoire de la moto dans ce pays passionné par la moto et sensible à ce sport dangereux pratiqué depuis toujours sur les circuits routiers locaux.  

    Ce documentaire aborde les questions du risque et de la passion vécue malgré ces risques, au sein d'une famille rudement touchée, où malheureusement les drames se répètent. 

     

     


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    Essai sur le sens et la valeur du travail

    Matthew B. CRAWFORD

    « La génération actuelle de révolutionnaires du management s'emploie à inculquer de force la flexibilité aux salariés et considère l'éthos artisanal comme un obstacle à éliminer. On lui préfère de loin l'exemple du consultant en gestion, vibrionnant d'une tâche à l'autre et fier de ne posséder aucune expertise spécifique. Tout comme le consommateur idéal, le consultant en gestion projette une image de liberté triomphante au regard de laquelle les métiers manuels passent volontiers pour misérables et étriqués. Imaginez à côté le plombier accroupi sous l'évier, la raie des fesses à l'air. » 

    Matthew B. Crawford était un brillant universitaire, bien payé pour travailler dans un think-tank à Washington. Au bout de quelques mois, déprimé, il démissionne pour ouvrir... un atelier de réparation de motos. À partir du récit de son étonnante reconversion professionnelle, il livre dans cet ouvrage intelligent et drôle l'une des réflexions les plus fines sur le sens et la valeur du travail dans les sociétés occidentales. 
    Mêlant anecdotes, récit, et réflexions philosophiques et sociologiques, il montre que ce « travail intellectuel », dont on nous rebat les oreilles depuis que nous sommes entrés dans l'« économie du savoir », se révèle pauvre et déresponsabilisant. De manière très fine, à l'inverse, il restitue l'expérience de ceux qui, comme lui, s'emploient à fabriquer ou à réparer des objets - ce qu'on ne fait plus guère dans un monde où l'on ne sait plus rien faire d'autre qu'acheter, jeter et remplacer. Il montre que le travail manuel peut même se révéler beaucoup plus captivant d'un point de vue intellectuel que tous les nouveaux emplois de l'« économie du savoir ».

     


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    Les années 70 et les nombreux jeunes pilotes Français qui écumaient alors les GP pendant le Continental Circus...

    Belles images, et belles émotions de les revoir ! Comme le dit justement Barnard Fau, on a grandit avec et on s'est construit aussi avec cet univers là ... Merci à eux tous,


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  •  Le monde de la course sur route et la passion du TT ... vécus par Guy Martin, John Mc Guiness, William Dunlop, et tous leurs petits kamarades ... Belles images et que d'émotions !! De quoi mieux comprendre pourquoi le TT est l'institution motocycliste number one outre Manche wink2


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  • wink2


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  • film : le Cheval de Fer - Continental Circus 1974

    Un film extraordinaire de Pierre William Glenn, directeur de la photographie ou chef opérateur pour de nombreux et célèbres réalisateurs, il a collaboré à des paquets de films.

    Réalisateur lui même, et amoureux de la moto qu'il pratique depuis toujours, son film de 1974 est une excellente synthèse de ses deux passions, Merci à lui de nous faire partager de l'intérieur le monde des GP des années 70.

    Le "Cheval de Fer", devenu film culte aujourd'hui, porte un regard plus coloré et moins dramatique que le complémentaire "Continental Circus" sorti 2 ans plus tôt. 

      

     


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  • Un grand merci à toute l'équipe de BIKE70-FFM, aux réalisateurs Thierry Quentin et Pierre Hanriot, à Jean-Claude Jacq pour la numérisation, à Francis Boutet au montage, et à l’inoxydable Jacques Bussillet pour ses commentaires passionnants.

     

     


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  • Zündapp Attelage, Side-Car, Oldtimer

    dis, c'est quoi un Jumbo-Run ?

    Un jumbo run c'est quoi?   


    C'est un éducateur Anglais qui serait à l’origine de ce genre de manifestation ainsi que de son appellation.
    Cet éducateur de personnes handicapées, passionné de side-car, voulait faire partager sa passion aux personnes avec qui il travaillait.
    Aidé de quelques amis, il organise une visite dans un zoo avec pour moyen de transport des side-cars.
    Ce serait en arrivant dans le parc des éléphants que quelques personnes handicapées auraient assimilé le gabarit des side-cars aux pachydermes. D’où cette appellation de Jumbo.


    Au terme de cette balade et devant l’enthousiasme et la joie de tous les participants, cette éducateur décide de reconduire cette expérience.
    Voilà comment seraient nés « les Jumbo-Runs». « JUMBO » en rapport aux éléphants et « RUN » pour le tour (la promenade). Depuis, il existe des centaines de manifestations de ce genre en Europe.

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    En France, depuis les années 90, les Jumbos sont très nombreux et c’est de partout que les side-caristes « avalent » des kilomètres pour participer à ces manifestations de solidarité envers le « monde des personnes handicapées ».

    La plupart des organisateurs/animateurs de Jumbo Run sont motards et souvent salariés des structures d’accueil, et c'est tout naturellement qu'ils proposent cette activité aux résidents handicapés qu'ils accompagnent habituellement dans leur quotidien.

    Un Jumbo Run est donc une action de partage, de solidarité et d'amitié qui consiste, l'espace d'une journée à offrir-partager une originale balade en side-car avec des résidents d'un foyer de vie. 

    On explique la participation aux J-R par la maturité des pratiquants qui forment le milieu particulier du side, connoté plutôt "familial". Etant ''différents'' eux même, cette pratique fait peut-être ''élargir'' l'attention bienveillante portée aux autres et aux différences ?

    Enfin, pour resituer dans le contexte des années 80 et 90, on note que les sides-caristes sont alors nombreux (les fabricants aussi), et que parallèlement les actions caritatives deviennent légion dans notre société. 

    A savoir, certains Jumbo Run subsistent aujourd'hui, et connaissent encore du succès dans le milieu devenu pourtant plus confidentiel du side car. On y accepte aussi les solos !

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