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Des virées parfois lointaines, des destinations, des itinéraires ...
Ici, on partage des projets réalisés ou en préparation ... dans l’hexagone, en Europe, et plus loin dans le monde !
Certaines routes sont un peu plus longues, peu ordinaires, ou présentent un caractère particulier ! Elles donnent envie de partir ... pour découvrir d'autres paysages et les hommes qui y vivent.
Un grand Merci aux voyageurs qui nous offrent quelques moments de ce qu'ils ont vécu !!
Bref, on est sur la route !!
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Par jacques C. le 24 Septembre 2020 à 09:27
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Pour le WE du 8-9 août, direction les chaleurs et les belles routes du Gers...
Ces journées superbement organisées rassemblent sur le circuit de Nogaro les amoureux fous des belles motos nées entre 1950 et 1980, élevées sous la mère et garanties sans OGM !
Avec les Manx, TZ, Bultaco, Gautier, RCB ... tournent toutes les marques et tous les modèles parfois magnifiquement modifiés.
Tu prends une machine qui te plaît + une petite ou une grosse transfo "piste" + une combarde avé la dorsale qui va avec ... et te voilà dans une série qui correspond à la puissance de ta moto et à ton niveau de pilotage sur circuit. De mon point de vue "spectateur" ce "petit" circuit est très bien foutu avec une bonne visibilité sur certains enchainements de virages !
Les séries sont toutes intéressantes à suivre, et certains pilotes envoient du très gros gaz ... Bon y'a des motos très musclées dans les bouts droits (les accélérations de la RCB de J-C Chemarin himself, wahou !), et d'autres plus vives et impressionnantes dans les courbes. Les sides cars sont toujours impressionnants, y compris les plus anciens
Comme toujours dans ce genre de rencontres, l'ambiance empreinte de passion est chaleureuse, on fait connaissance tellement facilement autour de ces belles machines ! Des tas de nouveaux potes sur des motos qui ont des bornes et des belles histoires !
On traîne dans le paddock, sur le camping, autour des buvettes et des points d'eau (indispensables vu la chaleur !), ainsi que dans les allées de la bourse aux pièces... tout ça dans une ambiance festive toujours respectueuse ; c'est pô ici que tu vas entendre des hurlements destructeurs de tympans et de moulbifs !
... un GPS local
Quel plaisir d'y croiser aussi Jordan (Toulouse,1190 KTM) qui me donne des nouvelles de ses parents (Thierry et Nathalie en 1200 Norge, Clisson). Croisement également avec les Mayennais Isabelle et Jean-Yves (CB750 de Mayenne). Il apprécie ces formules de roulage et tourne sur pas mal de circuits, actuellement avec une 4 pattes au look RCB, mais avec "beaucoup moins de CV" ...
Ayant encore "soigné" mon itinéraire, façon tournis à travers la campagne, j'ai encore vérifié les capacités de la Tromph ! Certain que des tas de motos feraient aussi bien, voire mieux, j'apprécie tout de même humblement la mienne, trop heureux de vivre ces moments là à son guidon.
... mon "GPS" de touriste
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Par jacques C. le 2 Juillet 2020 à 09:05
J'sais pas pour toi, mais l'interdiction de rouler à plus de 100 bornes à peine levée, hop hop hop ... on the road again et Gazzz !
Je me suis donc soigné cette 1° sortie post-confinement comme d'habitude ... mais au vu du contexte, je l'ai vécue avec un plaisir de chaque instant plus intense, un peu comme les inoubliables premières fois ... donc :
1 : un beau prétexte, ici la petite concentre "Hannibal" de Ristolas (05) les 13 et 14 juin
2 : une belle région de destination, le parc naturel du Queyras au fin-fond des Alpes ... y'a plus moche.
3 : un itinéraire (road-book sur le réservoir) étudié sélectionné avec des petites départementales qui tournicotent de village en village, de vallons en plateaux, de collines en montagnes ... Rhâ Lovely ...
4 : une bécane qui va bien, et un "pilote" affamé de plein air et de paysages, de courbes, d'odeurs et de rencontres ... qui veut s’enivrer de cette liberté enfin retrouvée !
Après un classique Oléron-Angoulême (16) le long de la Charente à travers champs, direction Saint-Yrieix-la-Perche (87) à travers le parc narturel Périgord-Limousin, puis direction Ussel (19) via Treignac-Meymac et le parc naturel des Millevaches. Traversée du parc naturel des Volcans d'Auvergne vers Issoire (63) et pause à Ambert au coeur du parc du Livradois-Forez.
Le lendemain, traversée du parc du Pilat direction Annonay (07), passage sur le Rhône et arrivée dans le Vercors via Hauterives (26) dans le Nord de la Drôme. Après Villars-de-Lans (38), plongée sur le Sud de Grenoble et plein Est vers Briançon (05) via le Col du Lautaret et le massif des Ecrins. arrivée dans le parc du Queyras via le col de l'Izoard.
le col du Lautaret (2058m) entre Grenoble et Briançon.
à Saint-Vérand (05), la plus haute commune d'Europe (2040m)
Le retour passera par l'itinéraire Sud : le lac de Serre-Ponçon, Gap (05), Die et Crest (26), La Voulte-sur-Rhône(07), puis Le-Puy-en-Velay (43) à travers le Parc des Monts d'Ardèche.
Ensuite plein Ouest vers Chanteuges et Saint-Flour (15), Murat et le Puy-Mary (15). J'évite Tulle (19) et me dirige vers Angoulême (16) via Arnac-Pompadour et Nontron (24). Passage à La Rochelle pour la révision de la mobylette et retour sur l'Ile d'Oléron.
La boucle est bouclée, that the end ! C'était génial !!!!!!!!!!!!!
La concentre : un grand
à Didier, Serge et Sandra, les organisateurs qui nourrissent avec talent les participants du p'tit et sympa rassemblement moto "Hannibal", au fond de la vallée du Haut Guil (Queyras), à Ristolas (05) à 1700m d'altitude. Le "Camp de base de la Monta" (camping municipal) habitué à recevoir les randonneurs-montagnards est un formidable lieu naturel pour une tranquille concentre à l'esprit amical et solidaire !
Pour info, Hannibal (247-182 avant J-C) est un général Carthaginois (région de l'actuelle Tunisie) en guerre contre l'empire Romain. Avec une armée (40 000 hommes, dont 9000 cavaliers ... et 37 éléphants de guerre, dont le dernier était nommé "Surus"), il franchit les Alpes.
Observation : on se demande encore s'il n'aurait pas été plus judicieux d'utiliser des motos de trial ...
L'itinéraire est toujours controversé, mais celui de la vallée du Guil avec passage au col de la Traversette à 2947m d'altitude (pas d'accès routier aujourd'hui) semble probable, malgré ses difficultés.
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Par jacques C. le 2 Juin 2020 à 08:18
Patrick Bernard et son fils Noé partagent ce beau voyage jusqu'au Cap Nord, sur une machine déjà éprouvée par de nombreux raids (au Maroc et ailleurs) ... une bonne "vieille" et robuste BMW R100GS de 1988, affichant 175 000 bornes au compteur avant le départ.
Perso, j'apprécie beaucoup la démarche de Patrick qu'en fait pas des tonnes, la relation humble père-fils, la forme et le rythme du voyage, l'envie d'aller voir les autres et le monde, les réflexions que suscite une telle "aventure" ... Merci à eux pour ce sympathique témoignage !
on note que cette vidéo a été saluée par un prix lors de l'Alpes Aventure Moto Festival de Barcelonnette. !
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Par jacques C. le 4 Mai 2020 à 09:50
Encore une belle virée de Lucien (1200GS) qui témoigne d'un enthousiasme certain pour les routes et la gastronomie locales (entre autres) de l'Ile de Beauté, visitée durant 10 jours pleins, du 15 au 26 juin 2012.
Son itinéraire débute à Bastia et fera comme un grand 6 jusqu'à Ajaccio... agrémenté de nombreuses boucles et transversales (voir la carte ci dessous). C'est partit ...
Gorges de Spelunca
Quelques petites notes sur des petites portions du parcours :
- de Ponte Leccia à Morosaglio, partie de route cabossée et vraiment trop étroite pour la GS avec ses valises. Pas marrant de klaxonner avant chaque virage, de croiser presque à l'arrêt les véhicules venant en face tout en pilotant l'épaule au ravin ...
- avant Porto, une zone de 5 kms caillouteuse et signalée « chute de pierres », hé bé, comme sur de nombreuses portions partout en Corse, c’est vrai !!
- la route côtière qui mène à Calvi = 20 Kms de route à défoncer le périnée d’un éléphant (!)
- j’ai adoré Cargese, peu touristique, où la discussion est aisée avec les locaux.
- la Corse c’est pas vraiment du plat !
- depuis Cargese, je m’en vais vers Mezzavia (nord d’Ajaccio) c'est top de top, puis je continue vers Corte et là aussi, top de top surtout Bocognano-Corte-Bocognano.
- d’Evisa à Porto : coup de cœur avec les gorges de Spelunca même si j’ai l’épaule au ravin. Paysages énormes malgré le rétrécissement de la voie le long des gorges.
- A Zonza, la pluie cesse et c’est là que tout va commencer avec uns descente fantastique de 40 Kms sur Porto Vecchio. : ma route coup de cœur et ma préférée de toutes celles que j’ai parcourues jusque là car
: virolos variés avec séries de serrés et d’épingles ( j’aime en descente) puis parties plus roulantes, virolos plus amples puis série de serrés sans surprises
: revêtement exceptionnel
: fréquentation quasi nulle dans ce sens (3 BARS et 1 moto) alors que dans l’autre sens, y’a du monde
: paysages somptueux avec tout = forêt, montagne, lac de barrage, vue sur le golfe de Porto Vecchio (pas de photo) depuis le village l’Ospedale, une cascade où je ne me suis pas arrêté.
: route suffisamment large pour la GS "Albatros" équipée valoches latérales ...
La découverte des routes Corses comme je l'ai fait me fait penser que j'aurais dû repartir de Bastia et non d'Ajaccio (en plus, c'est moins cher mais à vérifier)
De retour sur le continent, pourquoi rentrer direct à Bordeaux ? Donc roulage dans les départements 04, 05, 06 et 83 : cime de la Bonette, route Napoléon….
Merci Lucien pour le partage, et bravo à Madame la passagère qui a tenu le coup jusqu'à Toulon, avant que tu ne poursuives seul dans les Alpes ! Un vrai fada de la moto...! !
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Par jacques C. le 2 Mars 2020 à 07:59
C'est la 3° édition du Festival du Film Moto de Nice, du 21 au 23 février, qui me sert de prétexte à cette belle transversale ! Roulez, roulez ... c'est partit !
Déjà entre Barbezieux et Périgueux (via Montmoreau et Ribérac) c'est un festival de virolos sur des p'tites routes que je ne connaissais pas...
Puis c'est la traversée du Périgord (via Les Eyzies et Sarlat) jusqu'à Figeac ... ça tournicote toujours !
Ensuite les paysages arides et rocailleux du Lot, les causses du Rouergue et le plateau du Larzac, avant d'enquiller les fameuses Cévennes. Tu le devines aisément, toujours sur des viroleuses qui vont bien.
A partir de Nîmes, traversée de la Provence et circulation bien plus chargée qu'avant... Y'en a du monde qu'habite par là, c'est dingue ça !!
Un peu plus loin (je suis presque arrivé à destination), je vois la Méditerranée et traverse l'Estérel (après Fréjus, via le DN7) tout fleuri de mimosa. Les fleurs sont presque aussi belles que les enfilades de petites courbes, c'est dire !
Voilà quelques repères de mon itinéraire Aller ... Oléron, Pons (17), Barbezieux (16), Périgueux (24), Sarlat (24 ), Gourdon (46 ), Figeac (46), Rodez (12), Millau (12), Le Vigan (30), Nîmes (30), Beaucaire (30), Salon de Provence (13), Aix en P. (13), Fréjus (83), Cannes (06), Nice (06).............. et sensiblement la même chose pour le retour.
Bon j'avoue, dans les 2 sens, juste un p'tit bout d'autoroute entre Cannes et Nice, tellement la circulation est engorgée en traversant les agglomérations qui se suivent touche-touche.
La Tromph fait aussi bien, voire mieux que mon ex. GS ... J'apprécie sa relative légèreté, sa vivacité moteur et sa tenue de cap pourtant parfois troublée par les effets moyens des gros freinages en courbe (en cas d'urgence ...), et enfin il faut que je règle l'amortisseur un poil plus souple.
Globalement satisfaisant pour l'instant... mais voyons ce que ça donnera dans 200 000 bornes
Un mot sur l'excellent Festival du Film Moto : une programmation de grande qualité, originale et pleine de passion pour l'univers de la moto. Des chouettes rencontres facilitées par les repas pris ensemble sur place ! Au total, une belle organisation, un jury tip-top (Pierre-William Glenn et Anne-France d'Hauteville entre autres, excusez du peu !), et un public de connaisseurs ...
Des belles images et des bons moments !!
Une belle virée en moto, j'y retournerais, c'est sûr !!
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Par jacques C. le 28 Janvier 2020 à 18:23
Notre ami Lucien en 1200GS, Bordelais mais Basque de cœur, nous propose cette fois une belle boucle Européenne qui le mènera en Norvège avec un retour via Copenhague, Berlin, Prague, l'Autriche, l'Italie et la Suisse.
(schéma global de son itinéraire)
1° étape de Bordeaux à Charleroi (B)
2° étape de Charleroi à Neumünster (près de la frontière Allemagne / Danemark)
3° étape jusqu'à Pandrup au nord de la péninsule Danoise
4° étape, traversée Danemark-Norvège ... de Hirtshals à Kristiansand (plus de 3h de ferry) et pause à Mandal
5° étape de Mandal à Stavanger, on suit la côte Sud-Ouest de la Norvège, en remontant tout doucement vers le Nord.
étape 6 : de Stavanger à Haugesund, en contournant le grand Boknafjorden par l'Est.
étape 7 : de Haugesund à Brekke, on continue vers le Nord
(fermes piscicoles)
étape 8 : de Brekke à Geiranger (Djupvasshytta)
étape 9 : de Geiranger à Vinstra
étape 10 : on descend direct plein sud, via Oslo la capitale Norvégienne, vers Sarpsborg (Sud Norvège, près de la frontière avec la Suède).
étape 11 : de Sarpsborg à Trelleborg, pointe extrême Sud de la Suède. Le temps est gris, on visite au passage Copenhague, la capitale Danoise.
étape 12 : de Trelleborg à Rostok en Allemagne, via un ferry, puis pause à Malchin (50km au Sud-Est de Rostok).
étape 13 : Malchin - Berlin - Prague (Tchéquie, pour 2 nuits). Visite de Prague (sympa)
étape 15 : de Prague à Tolmezzo ( Nord-Est de Venise, Italie) via l'Autriche et ses tunnels et le train où la moto trouve une place, sur la 167 au Sud de Salzbourg, avant d'arriver à Mallnitz. Passage en Italie par le magnifique Plöckenpass / col de Monte Croce Carnico ...
étape 16 : de Tolmezzo à Santa-Clarina, on traverse les Dolomites
étape 17 : de Santa-Clarina à Chamonix (les Houches), à travers la Suisse et quelques cols : col Di Gavia, Passo di Foscagnio, Passo di Eira, col du Julier, col du Simplon, col du Saint Bernard, col de la Forclaz, col des Montets ...
étape 18 : Chamonix Bordeaux ... That's the End
Au total : 8200 km et des paysages à couper le souffle. A propos de la Norvège : de l'essence au même prix qu'ici (mais moins chère au Danemark), des petites Coop (avec les stations essence) mais pas trop de troquets, de la bouffe "du monde" abordable, des restos et des hôtels de qualité mais pas au premier prix (!), le vin à 25€ minimum ... bref, la vie est chère pour le touriste qui vient d'un pays au niveau de vie moins élevé.
Météo changeante, les jours très longs (pour dormir, penser au bandeau noir sur les yeux), réseau routier en bon état, signalisation routière pas toujours compréhensible et quelques radars, de la fraîcheur dans la partie Nord de la boucle (3 ou 4°) et les montagnes enneigées, des fjords magnifiques, des ferrys accessibles et pratiques, la chouette route des Troll n° 63 .... etc.
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Par jacques C. le 15 Janvier 2020 à 23:59
Aujourd'hui, 1° épisode des nombreuses aventures de Lucien à travers l’hexagone et l'Europe ...
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Voici donc un p'tit CR d'une balade qui m'a étonné par la qualité des paysages rencontrés : montagnes, rios en furie, gorges, routes souvent de bonne qualité, techniques.... En route pour la province d'Aragon !!
Partir d'un coin du Pays Basque (Ascain) pour découvrir la province de Huesca, se situant à la partie nord de l'Aragon, puis revenir le 3 ème jour en passant par la Navarre puis le Pays Basque français, ça vaut le coup.... malgré un temps pas toujours clément, fin avril de cette année là ...
(cliquer sur les images
)
Depuis St Jean Pied de Port suivre Arnéguy puis Luzaide Valcarlos (là où ya le jambon de truie), passage du col d’ibaneta, encore et toujours pluvieux, à croire que les nuages du PB se donnent RV à cet endroit.
Nous rejoignons Oroz betelu, et hop vers Aoiz puis direction Pamplona vers Lumbier.
A Lumbier prendre direction Pamplona puis N 240 à G vers Jaca / Huesca.
La route s’annonce difficile, humide et foudroyante ... mais la 1200RT s'en sort toujours avec brioPasser l'embalse de Yelsa, et à partir de là, c'est que du bonheur !! Après l’embalse de Yesa, je prends à D vers Huesca par la A 132.
A Bernués, à G vers Jaca, sur la A1205, et à Jaca, prendre la N330 vers Sabinanigo (mon premier arrêt dodo fut sur la N260 à Senegüé au nord de Sabinanigo).
Le lendemain, on poursuit la N 260 jusqu'à Biescas . A Biescas, suivre la N 260 et là, on arrive au Punto de Cotefablo, 1423 m. Dia, c’est pas une fable ce punto mais y'a de la côte et pi aussi de la neige. Donc roulage sous la neige pendant 10 bornes avec ma SDS vraiment pas rassurée et qui voulait rentrer !
Dia, ça roule humide, doucement : super sympa le ti bouton ESA et on se met en mode « confort ». On est cerné par les montagnes.
Et c’est reparti en suivant toujours la N 260 depuis Boltana puis Ainsa vers Campo
On est dans la région de Sobrarbe puis on passera par Pont de Suerte où l’on attrape la N 230 puis vers Ainsa par la A 138.
Alors là, au lieu d’aller à G vers Barbastro, aller à D et faire l’aller-retour : X N 230 / A 138 / Ainsa et Ainsa Barbastro, c’est que du bonheur avec plus 80 Kms de virolos et paysages étonnants. ............... Hop, dodo à Barbastro !
Le chemin du retour : depuis Barbastro direction Huesca par la N 240. La route n'a pas grand intérêt mais faut bien rentrer, hein ?
A Huesca prendre direction Jaca / Pamplona ou Jaca par Ayerbe, c’est l’A 132. Encore 30 Kms bof bof ...Puis, à partir d’Ayerbe, ça commence fort avec 40 Kms de virolos avec paysages de ouf !! Toujours les rios, des mini gorges, du rafting avec en toile de fond les Pyrénées enneigées
Passage à Sigües, puis direction Burgui.
Sortir et tourner à G vers Navascues. Là, pas de photos because on peut pas s’arrêter, trop de virolos sur une route superbe.
A Navascues, aller vers Escaroz puis direction Jaurrietta : 5 Kms d’épingles en continu, une bonne zone d’entraînement. Après Jaurrietta, ça tourne encore, mais moins serré.
Allez hop, direction Aribe puis Roncesvalles puis le col d’Ibaneta puis direction Arneguy puis St-Jean Pied de Port puis St Etienne de Baïgorry ... puis direction Pamplona via le col d’Ispeguy vers Elizondo.
Arrêt à Elizondo : on se fait un Trinquet ?Le col d’Otxondo depuis Elizondo en se dirigeant vers la frontière direction Francia.
Arrivée à Dancharia : arrêt aux ventas et en particulier a la venta Peyo pour achat de cochon Pata Negra - jabugo Bellota, 5 à 6 fois moins cher qu’en France soit seulement 45 euros / Kg. ( !!!! ah quand même
... note impressionnée du blogueur de service)
Après, direction Ainhoa, puis Sare et Ascain dont nous sommes partis il y a 3 jours.
à bientôt pour d'autres z'aventures !!
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Par jacques C. le 9 Janvier 2020 à 09:19
50° anniversaire pour cette hivernale qui avait vu sa première édition glacée et enneigée en 1969, avec quelques dizaines (106 sur les 250 prévus) de motards réunis à l'initiative de Michel Perdrix du MC95 (moto-club pirate) qui avait proposé cette rencontre : "y'a presque rien sur place, tu es prévenu" ...
Pendant 10 ans, les Millevaches devinrent une des plus importantes concentration hivernale Française, avant de s'arrêter en 1979.
En 2009, c'est le Moto Club Meymacois (19) qui reprend l'initiative, avec le succès que l'on sait, puisque par exemple ce sont quelques 3500 motards qui se sont inscrits cette année !
Réchauffement climatique oblige, cette année fut particulièrement grasse-humide et ventée... mais clémente avec des températures bien supérieures au zéro.
Ce sont même des rafales jusqu'à 120km/h qui eurent raisons des très gros tubes équipant les barnums, privant le rassemblement de ces lieux abrités où tous se rencontrent habituellement pour partager un café ou une bière (l'Abreuvoir) ... Evidemment pas mal de petites guitounes n'ont pas tenu le choc et samedi matin, certains pliaient déjà les gaules et reprenaient la route ...
Parti vendredi en milieu d'AM, je comptais atteindre Millevaches dans la soirée ... c'était sans compter sur l'éclat éblouissant des phares qui se reflète sur la visière dans chaque goutte à la nuit tombée, vers Limoges. J'évalue rapidement les risques pris à "naviguer" sur la route alors qu'il me reste 70-80 bornes à faire sur la belle viroleuse Lomoges-Eymoutiers-Meymac.
Donc Stop&Go de quelques heures au F1 du coin .... remplit de motards !
Samedi matin, après le passage à la salle des fêtes de Meymac, où je retrouve avec joie Steph (1000 Versys) et Julien (MT09) qui sont arrivés d'Angers la veille ... j'installe mon campement, et nous sommes rejoins par un groupe venu de l'Indre, avec qui nous passerons une soirée inoubliable !
Lors de notre p'tit tour du campement clairsemé, les échanges sont toujours bien sympas, c'est ça aussi le plaisir de l'hivernale !
Je note que c'est la première fois que pas mal de motos solo sont garées en épi sur la chaussée ... Logique, car pour rentrer et circuler dans le champ, pour caricaturer, seuls les side-car Ural sont réellement à la fête !
Mon itinéraire retour sera plutôt tranquille, via les petites routes transversales, avec des passages dans la Charente qui déborde entre Cognac (16) et Saintes (17) ... en mode "première courte", tant que je vois la ligne pointillée centrale sous l'eau ...
le site du MC Meymacois oraganisateur
superbe article du journal local
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Par jacques C. le 28 Septembre 2019 à 13:05
Prétexte à une belle balade, début août, les Journées Coyote de Nogaro (Gers 32) ont parait-il un parfum de TT ... hé ben c'est vrai ! Que d'la passion et de la bonne humeur, le plaisir de partager simplement cette belle rencontre avec des amoureux des belles mécaniques.
De multiples cessions de "roulage" regroupent des motos en différentes catégories. Propres et spectaculaires, dans une ambiance conviviale, les arsouilles s’enchaînent à un bon rythme, pendant que les paddocks et les abords du circuit accueillent les visiteurs, dont quelques uns sont venus avec des meules de collection des années 70-80 amoureusement bichonnées.
... et ça mécanique dans tous les coins (ici, une 500 RG Suzuki 4cyl en carré, 2T ... toujours enthousiastes ! Les campements sont nombreux et animés, du côté des paddocks comme du côté du public. Ça et là, des tablées pour les apéros, et y'a toujours moyen de rendre visite aux voisins !
Bon, vu de Nogaro, les Pyrénées ne sont pas loin ... alors c'est parti !!
1° grosse sortie de la Tiger 800 ...
A retenir absolument : la fameuse N260 tra
verse les Pyrénées espagnoles d'Est en Ouest (ou inversement !) ... est une route paradisiaque pour les motards qui vont profiter des courbes mais aussi des paysages et des haltes dans les villes et villages !
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Par jacques C. le 26 Juillet 2019 à 09:36
Nous sommes 5 motards au départ de CHOLET (49), SAINT-NAZAIRE (44), OLERON (17) :
Jean-No sur Honda Varadero 1000, Philippe sur Kawa Vulcan S 635, Jean-Pierre sur Triumph 955 Tiger, Alain sur R1200GS, et Jaco sur R1150GS
Notre point de rencontre, et hébergement pour 3 nuits, se situera au beau et fonctionnel gîte communal de CONDAT (15), où l'accueil est très sympa.
C'est parti pour 2 belles boucles !! Des virages, encore des virages, des cols, des plateaux, des étendues de pâturages, des villages et des points de vue exceptionnels ...
J1 . 208 kms - BOUCLE NORD CONDAT :
Départ à 9h sous un beau soleil, vers le Mont Dore et ses Thermes. Après un passage au téléphérique du Puy de Sancy, nous roulons vers deux cols sublimes....pour les cyclistes ....et les motards - Le col de la Croix Saint Robert et le col de la Croix Morand.
Déjeuner ombragé dans le village d'Orcival au pied de la basilique. Redémarrage , via le col de Guery avec vue sur deux volcans pierreux, vers le lac Chambon où...une baignade nature enchante 3 des 5 compères !
Enfin après traversée de Murol et Saint Nectaire ( délicieux fromage qui accompagna tous nos repas !) , nous coursons à Besse Saint Anastaise- superbe petite cité médiévale vestige d'une grande activité économique. Avant de nous poser à Condat vers 20 h, nous stoppons au lac Pavin, joli lac circulaire.
La soirée au gîte est animée par un apéro Gentiane Sweppes puis par un dessert banane flambée au rhum arrangé façon Jaco !
J2 . 252 kms BOUCLE SUD CONDAT :
Départ à 9h toujours sous le même soleil vers Bort les Orgues , Riom les Montagnes et Salers.
Jaco joue solo en allant vers Clermond Ferrand faire changer son pneu avant trop usé, puis nous rejoint pour le pic-nic montagnard au col du Pas de Peyrol au pied du Puy Mary. Paysages et routes de rêve !
Nous poursuivons via le col du Perthus vers Murat avec escapade au col du Prat de Bouc. Retour à Condat après arrêt à l'église romane de Dienne et aux cascades de Riom.....et enfin sous une pluie surprise battante les dix derniers kilomètres.
Soirée séchage vêtements au gîte et vidage des apéros et du frigo .
un grand merci à Philippe pour son récit et ses photos. . Nous avons partagé cette belle sortie concoctée par ses soins, avec le plein d'amitié en plus de la passion pour la moto et les belles routes !! ... à refaire, bien évidemment !
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